Tandis que Jean Sarkozy voulait devenir vaille que vaille le boss du 9-2, le vieux Charles ne pouvait masquer son admiration envers ce jeune loup aux ratiches qui rayaient non seulement le plancher mais aussi la chape de plomb de la cave. Le gamin lui rappellait son jeune temps. Les chausse-trappes, les trahisons, les bassesses. Lui avait été un caïd du genre. Un fidèle de tous les coups fourrés. Mais là, on avait affaire à de la graine de champion du monde. Le vrai fils de son père en quelque sorte…
Dav_
16 juillet, 2008 à 23:34
C’est une honte ce type ! On atteint les sommets du Népotisme. Pauvre France, je suis perdu au milieu de tant d’hypocrisies et de démagogies…
ruminances
17 juillet, 2008 à 1:34
Eh bah voilà qui me rassure… Bienvenue ici en tout cas !
Liberty
18 janvier, 2009 à 5:57
Si au moins il jouait les gros bras comme papa on pourrait lui mettre une trempe, ça éduque parfois .
ADN et tout le tremblement pour son scooter, impunité pour son délit de fuite, tout est le fait du prince à notre époque .
Grand retour de la monarchie !
J’aime son papa qui traite le citoyen de « casse toi pauvre con » et qui fais rapidement passer Sa koi contre le délit d’outrage juste après .
C’est vraiment ce qui est qualifiable d’inégalité devant la loi.
Enfin, les magistrats sont en train de payer leur silences continuels face à ce droit monarchique.
C’est pas bon mais ils ne l’ont pas volé, y’en aura pour tout le monde !
« Quand ils sont venus chercher les communistes,
Je n’ai rien dit,
Je n’étais pas communiste.
Quand ils sont venus chercher les syndicalistes,
Je n’ai rien dit,
Je n’étais pas syndicaliste.
Quand ils sont venus chercher les juifs,
Je n’ai pas protesté,
Je n’étais pas juif.
Quand ils sont venus chercher les catholiques,
Je n’ai pas protesté,
Je n’étais pas catholique.
Puis ils sont venus me chercher,
Et il ne restait personne pour protester »
Poème de Martin NIEMÖLLER –