Après l’époque des « petites phrases » Sarkozy a inauguré celle des gros mots, avec son célèbre « casse-toi pauv’con ». Il est vrai qu’à défaut de politesse, la bonne éducation (nationale) ne fait pas partie non plus des priorités de la présidence actuelle, ni même de ses objectifs. « Travailler plus pour penser moins » serait sans doute plus proche de la doctrine objective de Sarkozy, à ce détail près qu’il n’y a jamais eu autant de chômage. Même dans le pire, Sarkozy n’atteindra jamais l’envergure du méchant de tragédie, juste le grotesque du bouffon shakespearien, au milieu d’un royaume du Danemark en proie à la corruption généralisée. La « corruption » au sens premier du terme c’est la pourriture. Il y a bien quelque chose de pourri dans le royaume de France. La France pue. Elle pue la vulgarité, la bêtise et la cupidité de ses élites.
A défaut de se hisser au niveau de la fonction présidentielle, Sarkozy l’a rabaissée jusqu’au sien: celui d’un petit caïd de banlieue, qui a obtenu du galon en faisant ses classes chez Pasqua.
Mais l’habit ne fait pas le moine, et, comme pour les piteux joueurs de l’équipe de France, Nicolas Sarkozy apprend à ses dépends que le respect ne se décrète pas, il se mérite. Il essaie donc maintenant d’obtenir par la force ce qu’il n’a pas pu obtenir autrement.
Avec le limogeage de Guillon et Porte de France Inter, nous avons ainsi franchi une nouvelle étape et nous assistons maintenant au rétablissement de la censure et du délit d’outrage, en attendant peut-être une loi en bonne et due forme sur le sujet. La forme, à défaut du fond, la lettre plutôt que l’esprit. Le mensonge érigé en système.
Ahuris par la violence croissante d’une contre-révolution que nous n’avions pas imaginée aussi « décomplexée », nous n’aurons même pas la ressource de nous apitoyer sur nous-même, abusés par un vulgaire bouffon : le claquement des bottes remplacé par celui des talonnettes. Mais dans ce monde orwellien de mensonge qui s’impose à nous chaque jour, il va être temps de commencer à mettre un nom sur les choses, préalable nécessaire à leur reconnaissance aux yeux de tous.
Maître absolu des armées, de la police, de la justice, de l’administration, des médias, marionnette des banquiers et des industriels qui dictent sa politique, Nicolas Sarkozy organise de manière méthodique et de plus en plus visible la fin de la démocratie dans notre pays. Il ne s’agit pas d’un mouvement d’humeur. Cette contre-révolution vise simplement à remplacer le pouvoir électif du peuple dans les prises de décisions publiques par le pouvoir financier des banques et des multinationales. Il y avait le système féodal, la monarchie, la république, l’empire, il y aura maintenant en plus le système bancaire. Ca se passe juste sous nos yeux, en ce moment, et il va être temps de se réveiller avant qu’il ne soit trop tard.
babelouest
25 juin, 2010 à 6:32
L’armée d’occupation est là. Elle a changé toutes les vigies, tous les plantons, toutes les sentinelles. Maintenant, tous les ennemis entrent ici comme s’ils étaient chez eux, et les amis se font tirer dessus. C’est le chaos à Eslseneur. Les vrais journalistes, les vrais humoristes sont mis à pied. Les ont remplacés les histrions, les conteurs d’après-banquet, les écriveux et journaleux des pages de faits-divers locales. Bossuet n’est plus, c’est Gnafron qui harangue le chaland. L’homme sanguinolent jusqu’au coude a voie de cité, s’il apporte l’or. Celui qui n’a que ses mains ne risque que de se les faire couper, ou d’être raccompagné, troussé et lié comme un poulet, dans un lointain pays que parfois il ne connaît même pas.
Au donjon, dans la plus haute chambre de la plus haute tour, le Midas en chef est juché sur un amoncellement de trônes, pour voir d’en-haut ceux qu’il croit en-bas. Illusion d’optique. C’est seulement le parquet qui est en pente. Comme la piétaille ne peut approcher, elle paraît effectivement en-dessous. Les citoyens lui ont corné aux oreilles leur désapprobation, malgré la peur qu’il voudrait inspirer. Peine perdue, de lui on se contente de rire en secouant la tête d’exaspération.
Le barrage de la sinistre lucarne médiatique maintient encore les gardiens de la République à distance, mais cela ne saurait durer. Le raz-de-marée sera aux proportions de la contention : ravageur, salutaire, indicible. Ce sera bien. Vite, vite, qu’arrive cette échéance avant qu’il ne se renforce trop !
jp jacquie
25 juin, 2010 à 7:40
J’aime cet article enfin une personne qui se réveille et prend conscience du danger qui nous guette. Très triste de voir la fonction Présidentielle bafouée, quand on entend un journaliste Allemand dire que la France ressemble à une République bananière ça fait mal.Mon petit fils m’a dit hier pourquoi tu me grondes pour une chose aussi banale nos dirigeants se tiennent mal aussi ils nous donnent l’exemple et on ne leur fait rien ! Moi qui ai vu ce que c’était le franquisme je commence à avoir peur de toutes ces dérives.
lediazec
25 juin, 2010 à 7:48
La force d’un gouvernement se mesure à sa capacité à accepter la satire, voire le quolibet. Pour cela, il faut de la culture, de la tolérance et une forme de distance. Cela se traduisant d’un mot simple et galvaudé : démocratie. Rien de tel en Sarkozie. La mise à pied de Guillon et Porte le prouve.
Quelqu’un déclarait hier lors des manifestations contre le projet des retraites : « ils sont nuls, bien payés et arrogants ! » De qui parlait-on ? De l’équipe de France de foot ou du gouvernement et de l’État en général ?…
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b.mode
25 juin, 2010 à 8:18
Les 12 000 euros de cigares de blanc, le passe droit de Joyandet pour construire sa villa au bord de l’eau, la mission de Boutin, la chambre de Yade en afrique du sud, l’affaire Woerth-Bettencourt, les dépenses pharaoniques du 14 juillet dernier, la douche du prince pour l’UPM (vieux fantôme guainoïde), le four à pizza dans le nouvel avion présidentiel….
Le fiston à l’Epad, l’affaire de Karachi, les parodies fliquées de visite en province, la mise au pas des medias critiques…
J’en oublie évidemment ! ça commence à faire beaucoup !
lediazec
25 juin, 2010 à 8:21
@ Bernard. On se croirait revenus à la « belle époque » de l’état UDR !
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clomani
25 juin, 2010 à 8:54
N’empêche qu’il y a eu reculades : Joyandet a renoncé à agrandir illégalement sa propriété les pieds dans l’eau, Blanc a dû rembourser ses cigares (avec difficulté)… Le nabot aurait annulé un peu trop tard la sauterie du 14/7… on va devoir payer malgré tout !
D’un autre côté, l’avancée phénoménale du pouvoir des banksters :
Sarko qui, paraît-il, voulait taxer un peu plus les banques, a dû plier sous la pression de ses potes dans la finance.
Le chômage continue d’avancer en frappant les quinquas d’abord… mais Woerth (ministre du chômage à la solde du MEDEF et des évadés fiscaux), plastronne sous prétexte qu’hier, y’avait moins de monde qu’en 2003, comme si ses casseroles, il s’en battait les c…lles (parce qu’on sait qu’il n’a rien à braire de la colère des salariés français).
Estrosi qui est allé féliciter l’excellence française chez Renault pour les bons résultats en F1, pas comme les Bleus (voir pour ça l’Infoman sur Canal, ce matin à 7h35)…
Hees qui persiste et signe en allant sur le Grand Journal à Canal hier soir : « nan, je n’ai pas viré Porte et Guillon sous la pression de l’Elysée »…
Bachelot enfin qui, après avoir soutenu les Bleus, les traîne dans la boue en les traitant de Caïds immatures ! Ouaaaai !
Lagarde qui parle de gros sacrifices et grosse rigueur dans les journaux anglo-saxons, Guéant aussi dans les media anglo-saxons pour montrer combien la France est docile devant les diktats des financiers anglo-saxons.
TF1 qui consacre 1’30 hier soir à la manif… puis s’empresse de flatter le gros ego du tout petit nain en ballade dans la banlieue qu’il voulait karchériser il y a 3 ans… et finit son sujet sur la sécurité, avec Brice-père-la-police-racisse qui va leur en donner, de la sécurité.
Après ça, comment vous faites pour respecter ces connards (c’est vraiment le seul qualificatif qui me vient en tête). En effet, on nous montre l’insulte, le mépris, la morgue, au rang le plus haut de l’Etat… et vous voudriez que nous soyons des petits moutons respectueux, acceptant sans renâcler d’aller à l’abattoir ? Pas question ! Vous ignorez tout de la noblesse, de la hauteur, de la classe, de la grandeur d’idées, du respect. Vous êtes tout sauf respectables.
De toutes façons, ça ne peut que mal finir :une fois que les banksters et financiers, aidés de l’Etat-patron adhérent du MEDEF, auront syphonné tout notre fric, on ne pourra que mourir de faim en ne consommant plus du tout ce que les commerçants nous vendent en prenant 30% au passage. Nous serons tous des décroissants… et ceux qui le seront sous la contrainte deviendront violents, très violents et n’hésiteront pas à aller prendre le fric où il est.
Il y a 4 ou 5 ans, j’ai vu un film de science-fiction appelé « Le dernier fils de l’homme ». Les scènes du début sont celles d’un monde en désolation, pollué, où des groupes violents s’affrontent avec d’autres encore plus violents… pour survivre. Je n’aime pas la science-fiction mais je pense que ce film n’était qu’une illustration de l’avenir qui guette les générations à venir. Chez nous, notre gouvernement pourrait tourner dans ce film… ils sont tous prêts ;o) !
remi begouen
25 juin, 2010 à 9:50
La manif d’hier à St-Nazaire : plus de monde, plus de joie de se retrouver si nombreux à être en colère, plus de créativité.
Par exemple cette affiche : Trois très grosses lettres en rouge ‘FFF’ pour les mots ‘Faillite de la/ France-/Fric’… et le commentaire : ‘Prison pour l’entraîneur de l’équipe BLING-BLING de l’Elysée !’, plus une ‘bulle’ sur le mot Fric : ‘Touche pas à nos retraites’.
J’avais l’honneur de porter cela sur le ventre et le plaisir de recueillir de nombreux commentaires encore plus créatifs. Dont ceux de deux femmes qui fondaient le ‘Parti d’en Rire’ avec leur slogan ‘Non à la Retraite-Régime’…
clomani
25 juin, 2010 à 11:33
Quelques photos de la manif de Paris (que j’ai loupée). Ici :
http://lb-bis.2forum.biz/delires-en-tous-genres-f18/paris-et-ailleurs-en-images-partie-2-t5815-15.htm
lediazec
25 juin, 2010 à 12:14
@ Clomani. Très beau film, « le dernier fils de l’homme ».
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b.mode
25 juin, 2010 à 14:44
A Raymond l’inculte ! les mots (maux bleus) ! http://www.youtube.com/watch?v=GKIwHFkeYVE&feature=related
et la reprise du regretté bashung http://www.dailymotion.com/video/xag2t_bashung-les-mots-bleus_music
et même là malgré obispo… http://www.dailymotion.com/video/x6k81_les-mots-bleus-obispo-christophe_music
ZapPow
25 juin, 2010 à 15:02
Cet article m’a rappelé « l’affaire » Marie Ndiaye. C’est vrai, la France pue, la vulgarité, la cupidité, la bêtise, et, de plus en plus, la haine, la xénophobie, l’individualisme…
Il va falloir aérer, ou nous résigner à porter des masques à gaz.
Denis
25 juin, 2010 à 16:08
Billet écrit dans Voie Militante le 20 juin :
Eric Woerth, incarnation de la république bananière !
D’accord à 200% avec ton analyse !
MULARD
25 juin, 2010 à 16:17
Il suffisait de « capter » les signaux faibles annonçant la dérive totalitaire de ce pouvoir…Lors des élections.. par exemple..lorsque le prétendant au trône nus la faisait… pourquoi… Je vais vous le dire…
Quand on fait les questions et les réponses en même temps.. c’est déjà la fin de la démocratie.
Le Monolecte
25 juin, 2010 à 17:46
Je rentre de l’étranger et j’ai pris en pleine poire une image de la France très dégradée, et pas seulement à cause du foot. En fait, c’est un peu comme si je m’étais échappée de facholand : un pays dont les lois et les gouvernants sont assez ouvertement racistes, un pays où le président contrôle de manière évidente les médias et se mêle des questions financière du journal « de référence ».
lediazec
25 juin, 2010 à 17:49
Alors, Agnès, à l’étranger… Où ?… Si ce n’est pas indiscret, bien sûr. Bises.
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b.mode
25 juin, 2010 à 19:17
Bon, damin j’amène une pissaladière avec un rosé de gascogne… j’espère qu’on le boira frais ! et mort au rat ! dégoût !
Christophe Certain
25 juin, 2010 à 19:37
Mort aux vaches, mort aux condés, vive les enfants de Cayenne à bas ceux de la sûreté !
babelouest
25 juin, 2010 à 19:39
Pour ma part, j’arrive avec un couscous « maison » (pas tout-à-fait la recette habituelle), et du Cristal (avec de l’eau fraîche !)
babelouest
25 juin, 2010 à 19:42
Eh Christophe, Cayenne, un pote de mon grand-père (ils ont fait dans la foulée leur régiment, 3 ans, puis 5 ans de guerre sans arrêter) en a été directeur des Postes, dans les années 1925-1930 ! Il avait épousé la fille du directeur du pénitencier de Saint Laurent du Maroni !
Christophe Certain
25 juin, 2010 à 20:01
@babelouest, figure-toi que dans ma famille éloignée il y avait le mari d’une vague cousine de mon grand-père, que j’ai vu quand j’étais gosse, et qui officiait comme bourreau à Cayenne (on ne choisit pas sa famille) et je me rappelle qu’à une fin de repas bien arrosée il avait raconté qu’il s’entraînaient avec ce qui sert de tronc aux régimes de bananes. Ils faisaient les exécutions à l’aube, il faisait encore à moitié noir, et une fois ils ont raté un type (normalement il a la vie sauve) et comme il faisait encore noir, ils ont remonté la guillotine sans que ça se voie trop et ils l’ont terminé. La barbarie n’est pas très loin de nous, et on pourrait bien y retomber un de ces jours si on n’y prend pas garde.
lapecnaude
25 juin, 2010 à 20:42
Belle collection que ces ruminants et moi qui me croyait bizarre parce que Bonnot était le parrain-civil- de mon père ! Faut remarquer que du côté de ma mère, je n’ai pas trop cherché à en TROP savoir, son nom était COLONNA !!!!
b.mode
25 juin, 2010 à 20:56
http://www.mediapart.fr/journal/france/250610/bercy-etait-prevenu-des-2009-de-la-situation-fiscale-de-liliane-bettencourt
Christophe Certain
25 juin, 2010 à 21:25
@lapecnaude je pense que tout le monde a des histoires à raconter mais si nous en racontons ici c’est que nous avons pris plaisir à écouter ce que nous avons pu entendre dans notre vie et à s’en souvenir, c’est ça qui donne du sens à l’ensemble. Je vous épargnerai la biographie de mon grand-père (c’est du lourd) mais j’ai une arrière grande-tante qui avait un hôtel café restaurant à Beslé sur Vilaine, et j’ai encore chez moi 4 chaises de bar qui viennent de là. Elle faisait passer la nuit en barque des parachutistes anglais qui avaient atterri dans la poche de Saint-Nazaire, de l’autre côté de la rivière, et elle les hébergeait dans la cave, entre les tonneaux. A la libération c’est son mari alcoolique et qui n’a jamais eu aucun lien avec tout ça qui a été décoré. J’en profite pour dire que dans ce paisible patelin de campagne, à la libération les collabos ont été jetés dans la Vilaine avec des parpaings aux pieds (ce qui rejoint ce que je disais tout à l’heure, ce n’est pas si loin). Un autre truc amusant, un jour un type est venu à l’hôtel, personne ne le connaissait, il est resté 3 semaines et est reparti en payant avec des Louis XIII en argent qui sont encore chez mes parents. Wow ! D’où ça venait ? Mystère…
A2N
25 juin, 2010 à 21:29
Bonjour,
Vous pouvez lire sur mon blog tout ce que j’écrivais sur cet imposteur avant son élection. Merci aux 53% d’abrutis qui ont VEAUTE comme des veaux.
A2N
Christophe Certain
25 juin, 2010 à 22:22
comme le disait élégamment le roi Arthur dans Kameloot « ça pue du cul » pour Sarkozy en ce moment. Fillon est « droit dans ses bottes » sur la réforme des retraites, Sarkozy reçoit Thierry Henry pour parler de foot pendant qu’il y a deux millions de personnes dans la rue (ce qui ressemble à un casus belli du genre de celui de Marie-Antoinette avec la brioche) et les turpitudes de l’affaire Bethencourt commencent à propager l’incendie jusqu’à l’Elysée. Prenez des vacances, reposez-vous bien, la rentrée sera chaude. Ah, la dernière: Sarkozy va organiser des « états généraux » du foot à la rentrée. Le « Grenelle » est passé de mode on dirait, il faut aller plus loin dans la com maintenant pour convaincre, et remonter à la révolution. A moins que Sarkozy ne sache pas ce que signifient les « Etats généraux » dans l’histoire française. Mais septembre sera peut-être le moment de lui apprendre. A défaut de nuit du 4 août, je me contenterai de septembre. Même Chérèque commence à flipper, et il a des bonnes raisons, je pense qu’aujourd’hui il a plus peur de se faire empaler par ses propres sympathisants que de Sarkozy. Il ne pourra pas les trahir une deuxième fois (quoi que). Il va nous falloir un programme politique pour septembre au cas où
L’évolution est rarement progressive, elle évolue par de brusques changements. On n’est peut-être pas très loin du prochain.
babelouest
26 juin, 2010 à 7:12
Une chose est certaine, Christophe : je ne sais pas s’il y aura des États Généraux strictu senso, même du foot, en tout cas je doute fortement qu’on voie sous ce régime (très amincissant) un État Généreux……
samten
26 juin, 2010 à 15:21
Merci pour cet envoi d’une grande lucidité.
J’espère qu’il pourra en aider beaucoup à prendre conscience que notre, bien qu’imparfaite République Républicaine, après avoir pris une posture impériale, est entrain de devenir une Impériale Dictature . Un étrange et dangereux croisement entre un nabot Léon et une paire de moustache à mèche.
Pourquoi « casse-toi pauvre con » ne fut-il pas qu’un soliloque..?
b.mode
27 juin, 2010 à 2:12
@samten merci pour ta réaction. Tu résumes en 4 lignes, l’intégrale de ce blog. Ou presque…
Le problème est qu’il va s’accrocher à son hochet comme un bernique à son rocher…