L’Europe c’est le bordel et le dire n’a rien de grossier.
Jusqu’à récemment ils étaient deux à dominer les ébats, Angela-la-robuste et petit Nicolas, et ça sentait les rendez-vous adultères de 5 à 7. La relation dominant-dominé ayant ses limites, un peu lassé (toi plus moi et le je dans tout ça ?) le couple franco-allemand traverse une période de doute propre à ceux qui vivent dans un état d’ennui. Témoins impuissants devant le désastre causé par une forte dépression, où chacun récite un passage du catéchisme libéral dont la traduction n’est pas comprise de la même oreille selon la position qu’on occupe dans le paddock, la rupture fait partie des probabilités, même si les deux parties font des efforts pour recoller les morceaux…