« Les rêves sont des chasseurs d’âmes », écrit Jim Harrison dans « légendes d’automne ». Une merveille de plaisir, le bouquin et l’auteur. Il nous parle comme si au-delà de la vie quelque chose continuait encore de palpiter sous les murmures pour éclairer l’aube sale.
Cette entrée en matière n’incite certes pas à aborder le volet politique hexagonal sans éprouver quelque remous dans la conscience. Et pourtant, les choses sales faut bien finir par les mettre à la déchetterie ! (lire la suite sur ruminances)