Nous sommes sous une dictature qui se répand et se durcit inexorablement grâce à une arme, la manipulation du sensible.
L’homme cherche tout au long de sa vie à stimuler ses sens, c’est l’essence même de sa survie. On les lui ôte, il devient un légume obéissant. S’il y a pénurie, en le gavant de stimulis pollués, il prendra pour vrai et bon, le faux et l’inacceptable.
Les dissidents de l’art contemporain comme C.Sourgins, JP.Domecq, J.Clair… et Aude de Kerros nous expliquait en 2008 (lire la suite sur ruminances)